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Documentation

Le spectateur au loin

Tout le monde aimerait être bien compris par son entourage et être accueilli par lui avec ses propres œuvres. Que l'on s'accorde simplement ce genre de choses.

Tout ce que nous avons fait a eu un impact. Il faut donc supposer que ce qui a été fait a été perçu. Pour cette simple raison, nous supposons qu'il y a eu un spectateur au loin, qui nous a accordé quelque chose. Il nous voit de son point de vue et a sa propre perspective sur ce qui se passe chez nous. Nous sommes donc dans une certaine relation avec lui, ce qui nous caractérise un peu. Nous avons ainsi introduit ce spectateur lointain chez nous. 

Nous avons la foi en quelque chose de bon. Dans nos œuvres, nous considérons la 'personne cible' que nous venons de prendre en compte comme un observateur de celles-ci, mais nous reconnaissons également l'observateur de ses actions dans l'existence qui est pertinent pour elle, en tant qu'entité autonome. Il ne nous reste alors plus qu'à reconnaître le lien qui nous unit à cet observateur plus éloigné pour saisir ce qui se passe.

Cet enchaînement s'étend à chaque personne réelle de l'être humain. Ce n'est que lorsque nous avons obtenu un lien spirituel de notre part que le génie de celui-ci apparaît et va nous permettre de réaliser quelque chose qui peut être accompli par nous. 

En arrière-plan de chaque étoile de l'humanité se cache quelque chose d'autre. La somme de tout cela débouche sur un foyer du divin. 

Seul ce que nous avons préservé chez nous se révèle à nous. Ce qui n'est pas parvenu jusqu'à nous ne peut que nous surprendre. 

La cause de l'apparition des entités ne serait pas seulement leur existence, mais notre orientation serait également déterminante pour la manière dont nous nous sommes placés pour les percevoir. L'imaginaire d'une existence est apparu en plus du réel du monde. Sans les connaissances qui en découlent, rien de bon ne pourrait être réalisé par l'homme.   

La distance se reconnaît au fait que plus une chose a été éloignée, moins elle est floue ou déplacée sur nous. C'est pourquoi, dans le silence, nous nous référons uniquement à quelque chose qui a été loin. C'est sur cela que nous nous sommes concentrés, et c'est ainsi que nous avons concentré toute notre force sur quelque chose qui repose en soi.

Le fait de s'en détourner à un moment ou à un autre pour se retrouver dans le présent nous a caractérisés et a déterminé quelque chose chez nous. Notre foi, qui nous habite, doit y être liée. Grâce à elle, nous avons connu un affermissement et reconnu notre rapport à la vie.   

L'homme qui a un rapport avec la vie ne devrait plus se tromper. Il n'aurait donc pas besoin de parler ou de discuter de ce qu'il pensait, parce qu'il savait déjà quelque chose. Il a compris ce qui avait de l'importance pour lui. Il a ainsi gagné une base pour lui, sur laquelle il peut se décider pour sa propre cause dans l'existence. Il doit rendre quelque chose réel.  

Comme nous savons que le silence a un effet apaisant sur tous les événements, nous avons également pris l'habitude de nous retirer. Là aussi, nous avons accepté le divin de telle sorte qu'il sera assimilé à ce qui nous a apaisés. Une force attachée aux objets les a unis à nous.

Le tout forme donc une unité. Pour cela, nous avons provisoirement accepté une unicité et lui avons conféré dans notre imagination l'essence de la personne. Confiants en son pouvoir, nous l'avons rejointe et sommes ainsi devenus son bras. En tant que telle, nous avons renoncé à tout influencer. Au lieu de cela, nous avons laissé les choses telles qu'elles apparaissaient légitimement. Ce qui s'est alors produit en nous a eu un effet stabilisateur.

De cette manière, nous avons pris de la distance par rapport à ce qui s'est passé, tout en étant proches de ce qui s'est passé. C'est comme si nous avions surveillé un feu qui nous réchauffait.  

Documentation

Une bonne poignée de rien

Garde tes mains sur toi ou libère-les si tu veux travailler un peu. 

Contrairement à la conviction largement répandue que l'existence humaine consiste à s'en mettre plein les poches, un conseil acceptable pour nous a été d'avoir le cœur joyeux et de laisser les choses telles qu'elles étaient. Nous nous détachons ainsi de ce qui nous a été prescrit tout en le respectant. Nous portons en nous quelque chose que nous avons reconnu parce que nous l'avons compris. Ce faisant, il s'est dissous et a disparu. Il n'a donc plus guère d'idées à nous soumettre. 

Nous n'avons rien ajouté de plus. Tout a continué pendant ce temps. Nous ne nous en sommes pas souciés, mais nous avons entendu comment les choses se passaient. Elles sont devenues réalité. Certaines d'entre elles nous ont permis de compléter nos images intérieures. Les pensées ont joué à Tetris avec ce qui nous est propre. L'esprit nous a quittés, mais il est ensuite revenu vers nous avec une grande force. Puis il nous a rejoints. 

Quelque chose a suivi notre parcours. Nous l'avons en partie négligé et pourtant il s'est imposé à nous. Nous avons ainsi pu constater que quelque chose avait été d'une bonne valeur. 

On a reçu un cadeau en toute franchise, ou bien ce n'en était pas un pour nous. Ce que l'on a fait par la suite doit également être fait en toute liberté. Malgré tout, nous avons pris des engagements alors qu'il ne devrait pas y en avoir. Souvent, cela nous a déjà enchaînés dans la vie. Cela n'a pas été une bonne chose. C'est ainsi que nous l'avons évalué. Nous y avons renoncé et avons compris que ce qui doit arriver arrive. 

L'intention des hommes a été corrompue. Il ne leur reste rien de bon, parce qu'ils se sont acharnés à être les meilleurs en tout. Ils poussent et avalent, ils crachent et s'acharnent. Rien ne va plus pour eux. On peut aussi perdre son bonheur.   

Pensée

Un moment de magie

Garde avec toi ce qui est en toi. 

L'homme doit s'approprier une conscience qui a été dessinée par lui dans son état d'éveil. Il a alors ressenti quelque chose en lui qui a beaucoup compté pour lui. Cela a été quelque chose de grand pour lui, parce que cela a eu un effet si fort sur lui. Toutes les choses sont à pondérer. Il y a quelque chose qui a été proche de chacun d'entre nous et qui nous est apparu ainsi. 

Les phénomènes qui accompagnent notre existence ont révélé la valeur de notre destin. Il faut comprendre qu'il a fait de notre vie une descente aux enfers. Nous n'avons cessé de descendre. Par rapport au système global des énergies, cela doit être une vérité de la vie. Celle-ci sera finie. C'est ainsi que l'on pourrait justifier la manière dont elle est apparue. Nous avons de moins en moins de choses entre les mains qui faisaient de nous de bonnes personnes, et nous devons pourtant nous en sortir. Nous avons donc décidé de laisser tout ce qui est donné. Cela nous a permis de nous stabiliser.

Nous ne pouvons pas renoncer à la vie. Nous ne pouvons renier ce qui est vivant en nous que pour faire semblant d'être en mesure d'y renoncer. Nous ne voulons pas le faire parce que nous l'avons ressenti comme faux. C'est pour cette raison que nous avons accepté ce qui devait être accepté et que nous avons affirmé la vie avec sa structure. Nous l'avons fait de manière paritaire. Nous avons d'abord considéré chaque personne comme notre égale et notre égale valeur. Poignée après poignée, nous avons ensuite assemblé les choses que nous connaissions et obtenu ainsi quelque chose d'utile. Une progression des choses doit être possible malgré toutes les configurations énergétiques néfastes de la vie. 

Le mystère du monde et le mystère de l'homme doivent avoir la même valeur pour nous. Le fait que nous n'ayons pas tout dit avec des mots nous a parfois empêchés de commettre une faute. Le mystère d'une personne a été préservé par cette protection que nous nous sommes ainsi accordée.

Si, avec le temps, les cieux se sont éclaircis chez nous, ils sont désormais désertés. C'est à peine s'ils nous inspirent encore. Les feux se sont éteints et l'humanité a littéralement succombé à un manque d'unité qui a découvert dans la futilité de l'individualisme une prétendue bénédiction. C'était le comble de l'absurde. Ensuite, les mondes spirituels se sont brisés et n'ont plus existé. Ainsi, ils ne sont plus vraiment apparus. Si deux personnes se sont trouvées, elles se sont tôt ou tard disputées. La honte qui s'est ainsi répandue parmi les hommes ne doit pas être mentionnée. Elle n'a pas de valeur. 

L'essence de l'être humain doit être entendue sans fard. C'est donc une véritable existence humaine qui nous a conditionnés. C'est ce qui a fait la différence. Il sera alors enfin possible de comprendre ce qui s'est passé. 

Ce qui s'est produit a toujours été tel qu'il s'est produit de manière parfaitement justifiée. Les sciences exactes imposent une telle condition et ne reconnaissent comme vérité que ce qui a été clairement clarifié. 

Toutes les prérogatives de l'homme ont été fondées sur des règles conçues pour maintenir l'ordre chez nous.

Impulsion

Un éclat de soleil

À 100 % de l'ensemble, une sécurité commence à être efficace. Par rapport à une réaction, nous l'avons également appelée stabilité. 

L'homme a aussi besoin de prendre du recul par rapport à ce qui s'est passé. Il a peut-être été fatigué. Il a donc temporairement laissé sa propre cause derrière lui, bien qu'elle ait déjà été importante pour lui auparavant. Il doit donc parfois s'habituer à l'horreur de sa nature, telle qu'elle lui est propre.

Nous, les humains, avons des préférences qui ont été plus ou moins durables. 

Le noir est une belle couleur. Elle est apparue assez puissante. Je le pense comme je l'ai dit. Ce n'est pas un euphémisme.

Comme les vraies pensées doivent être traduites en langage, nous nous sommes permis de formuler des séquences de mots telles qu'elles nous sont apparues. Il était nécessaire d'en rassembler le résultat. Cela n'a pas donné lieu à d'autres contextes que ceux qui se sont présentés d'eux-mêmes chez nous. Nous disposons ainsi d'une base propre pour les afficher. Tout cela doit être maintenu à un bon niveau linguistique. Un tel niveau devrait se caractériser par une présentation homogène du donné. 

Il est donc plus facile d'en saisir quelque chose. Ainsi, quelque chose aura été donné parce qu'il nous aura été connu. 

J'ai déjà complété en partie les aspects de mon existence que j'ai déjà décrits. C'est pourquoi mes propres textes me servent de piliers pour construire le toit de ce qui a constitué ma base pour la vie.  La voûte qui protège ces événements, mais qui les relie aussi entre eux, me permet d'y voir plus clair dans mes affaires. Les textes déjà terminés en sont un exemple. Leur traitement est aujourd'hui en grande partie au repos. Les autres parties de l'œuvre suivent et sont complétées par moi. C'est ainsi que l'un a mené à l'autre. Quelque chose est ainsi entré en vigueur chez moi. 

Je me suis donc limité à l'essentiel et ai restreint mes explications. C'est pourquoi les textes n'ont pas seulement été augmentés par moi, mais j'ai également réduit leur taille. Par la suite, ils ont été publiés sous une forme épurée.

Impulsion

Il ne faut pas regarder le soleil. Celui qui le regarde devient aveugle. Ses yeux deviennent noirs. La vue reste ensuite obscurcie.

Impulsion

Radiocarbone

Même si les choses qui nous ont conditionnés nous ont paru insignifiantes, leur somme a produit pour nous quelque chose qui a eu de l'importance.

C'est là où nous avons fait l'expérience de la paix que nous la trouvons le plus facilement. Sans qu'il y ait eu de prescription sur ce qui l'a constituée, elle s'est réalisée d'elle-même et a existé. C'est là que toute la science s'est brisée parce qu'elle n'a rien signifié pour nous, ce qui a été bon. Toute enquête statistique sur les motivations d'un homme n'en a pas encore révélé une. Une perspective de succès n'a pas été, et n'est pas devenue, une perspective de bonheur dans la vie. Les mensonges de l'époque actuelle sont infâmes, et leur éblouissement est viral dans les médias. Ce sont surtout les choses qui n'ont rien à voir avec nous qui attirent l'attention. Il est facile pour chaque idiot du village de les juger. Tout le monde l'a fait, personne ne s'en est durablement exclu. Les gens ont atteint l'insignifiant et se sont étonnés du peu qu'ils ont fait. 

Lettre

Lettre de motivation

J'ai essayé de mettre en pratique un peu moins de Kant et un peu plus de Brecht, malgré ma formation scolaire simple, parce que cela me plaisait tellement.

Chère lectrice, cher lecteur,

N'espérez pas trop de mes tentatives, qui peuvent paraître maladroites, pour décrire le yoga tel que je l'ai connu. Je ne suis pas un ascète, un sâdhu, un samnyasin ou un arhat. Je ne me suis pas non plus élevé au-dessus des autres.

J'aimerais néanmoins, avec des mots aimables, préparer quelque chose de mon expérience personnelle pour les personnes qui souhaitent lire cet écrit ici. Il y aura certainement beaucoup plus de choses à dire sur ces sujets que ce que j'ai fait ici, mais je me garderai bien de m'approprier de manière exagérée la baguette d'un professeur. Je ne voudrais surtout pas en utiliser une. J'ai essayé de ne rien écrire d'horrible sur mes expériences avec le hatha. Je cite néanmoins ce qui m'a amené sur le chemin et ce contre quoi je me bats encore aujourd'hui en le parcourant.

C'est au cours de ma vie que j'ai acquis quelque chose grâce à un lien avec le yoga. Sans une certaine connaissance préalable, je n'aurais probablement pas trouvé mon thème principal, ma propre fréquence, pendant mes études d'ingénieur. Ce qui s'est passé ensuite a été une véritable chance pour moi. 

Qu'est-ce qui constitue la fréquence propre d'une personne ? - La connaissance de ce type de résonance se base sur les connaissances que l'on peut acquérir en méditant sur le thème correspondant à un mouvement intérieur et extérieur réel. Pour ce faire, il convient d'examiner les rythmes qui nous ont structurés en tant qu'êtres humains et d'accorder à leurs particularités physiques le poids d'une signification pour notre vie. Les caractéristiques de ce qui nous a constitués indiquent qui nous sommes et ce qui ne va pas chez nous. Il devrait s'agir de signes distinctifs qui nous indiquent ce que nous devons faire pour être en harmonie avec nous-mêmes.

En ce qui concerne l'ouvrage, il s'agit d'un élément du 'kit de construction'. Il s'agit d'une collection de mes propres écrits, réalisée à la manière d'un fichier. L'objectif est de me permettre d'y travailler de manière créative. Ce faisant, je peux me former à la littérature. J'attends quelque chose de ce projet. Après tout, j'aimerais bien être un jour écrivain dans mon métier. Les éléments de la fiche "Baukasten" seront un jour publiés sous forme de livres. 

J'ai un grand espoir de pouvoir construire mon propre petit monde de pensées et d'idées et d'écrire ensuite quelque chose que je connais pour pouvoir en prendre connaissance à mon tour. Je compte sur le fait que je parviendrai à présenter les choses de mon existence d'une manière finie. 

Certains liens de contenu existent entre les différents wikis. Mais vous devrez les trouver vous-même en lisant mes écrits, car je ne pourrais pas vous indiquer où les trouver. Sinon, la lecture du texte sera un peu déroutante. Si vous le souhaitez, explorez les polices contenues dans les autres wikis. Vous y découvrirez peut-être des liens. En attendant, je vous demande de considérer mes textes comme un 'panier d'osier' virtuel fait de brins tressés. Il est encore un peu inachevé. 

J'aimerais également attirer l'attention sur le contenu du "Setzkasten" qui accompagne l'exposition. On y trouve des images et de la musique de sa propre production. Les œuvres ont été réalisées de manière très personnelle. Les liens vers les pages d'aperçu du 'Setzkasten' et du 'Baukasten' se trouvent plus haut dans le menu Page d'accueil de la page Internet 'Hatha'. Vous pouvez également faire une recherche directe sur [mathias-schneider.com].

Je vous souhaite beaucoup de plaisir dans la collecte d'écrits et ailleurs. En attendant, je suis de bonne humeur et plein d'espoir.

avec mes salutations les plus cordiales

Mathias Schneider

Pensée

Imagination et peur

Les fréquences propres ont été des fréquences finies. Par la suite, quelque chose s'est produit.

Il n'y a qu'une seule nature. Ce monde montre ce qu'il est. Toute infraction à ce principe se traduit par un déracinement. Pour cela, il n'y a pas eu besoin de tribunaux pour exécuter la sentence. Il le fait déjà de lui-même. Quelque chose a été vrai. 

Documentation

Une insertion

Certains pensent qu'il suffira de monter aux barricades pour éradiquer son propre handicap. Mais l'ennemi arrive par derrière. Les gens se poignardent les uns les autres dans leurs propres rangs. Leurs actes résultent le plus souvent de l'ignorance de leur véritable appartenance.  

Sur cette page web intitulée 'Hatha', j'aimerais vous faire part de ma propre expérience du yoga. Les connaissances livresques dont je devais me contenter pour explorer ce domaine thématique n'étaient ni complètes ni clairement structurées. J'ai donc fini par comprendre que j'avais besoin d'un résumé qui me permette de tirer des conclusions. Je veux maintenant unifier et écrire tout ce que j'ai appris et compris de bon. Ainsi, je prépare ce que j'ai appris auparavant. Pour ce faire, je les présente sur cette page sous la meilleure forme possible. Ensuite, je confronte l'écriture à ma propre expérience afin de pouvoir vérifier ce que j'ai écrit.  

Mes efforts pour le yoga m'ont amené à rompre une lance pour cette cause. L'écriture me sert de discipline pour conserver un sens à ma propre existence. Dans de nombreux cas, cela a à voir avec une auto-éducation que je fais. Une restitution de ce que j'ai déjà pensé auparavant sur le sujet doit être réalisée de manière honnête. Elle doit se faire sans hâte ni précipitation. Cependant, je n'ai pas reçu de formation particulière pour cela, qui puisse garantir que j'y parviendrai. Je n'étais pas sûr de réussir à présenter un tel projet sous forme littéraire. C'est pourquoi je gère le wiki comme un simple système de gestion de contenu (CMS). Grâce à la collecte de ces propres pensées et idées, j'ai conservé et élargi les 'protocoles de pensée' déjà établis. Je crée de tels écrits lors de ce que j'ai appelé des "heures d'écriture libre". Je ne veux pas en priver les lecteurs de mes textes. 

J'ai reconnu des limites claires à mes compétences. Celles-ci sont définies localement et dans le temps par les limites de chaque situation. Néanmoins, j'écris sur le yoga, ce que j'ai à dire. Si possible, un livre entier devrait en résulter. Exploiter de manière ciblée un potentiel qui m'est propre, tel qu'il se présente à moi, doit m'aider à accomplir cette tâche. En attendant, je dois d'abord m'assurer que j'apprends comment présenter de tels faits par écrit. 

Je dois regarder encore et encore les déclarations que j'ai déjà faites à ce sujet. En fait, j'ai parfois vérifié leur véracité et établi leur valeur afin de pouvoir mesurer le succès de ce que j'ai fait.

J'ai considéré tout cela comme un exercice de mise en forme du langage. La question de savoir comment la construction effective de mes textes a été réalisée et ce qui a été transmis grâce à elle a une grande importance pour la manière dont ma parole sera comprise. L'œuvre doit être quelque chose qui est donné pour l'avenir. C'est pour cela que je l'ai fixée. 

Pour moi, cette œuvre a une signification qui dépasse le cadre de sa création. J'ai souvent décrit mes choses et nommé mes chemins. Certaines de ces choses sont déjà devenues réalité pour moi. Entre-temps, je continue à développer l'œuvre écrite. Je fais cela pour que le temps de ma vie et son énergie puissent être utilisés de manière efficace. 

Les prestations que j'ai fournies jusqu'à présent ont déjà donné lieu à du matériel qui m'a semblé digne d'être lu. J'aimerais donc continuer à travailler dessus. Le tout doit aboutir à un bon succès pour moi. Tout homme a eu besoin d'une confirmation pour son action. Moi aussi, je veux l'atteindre. 

Je souhaite conserver en l'état ce qui a déjà été présenté. Je vais continuer à faire avancer tout le reste. En outre, j'aimerais encore en nettoyer certains. Je le ferai dès qu'il me sera possible de le faire. Je fais mon travail à ma façon, comme je l'ai senti. 

Lors de certaines lectures des écrits existants, j'ai compris comment il convenait de parler du yoga. J'ai alors passé en revue mes propres idées. Ce faisant, j'ai compris correctement certains détails ou j'ai cru les comprendre correctement. Ensuite, j'ai fait des commentaires sporadiques sur ce que j'avais déjà dit.

La délimitation de ces préparations au yoga sur des faits réels de mon existence doit prouver la véritable valeur d'usage de cet écrit. J'en parle plus en détail, ce qui a un rapport avec moi. Ainsi, il doit être clair pour le lecteur comment j'en suis arrivé à mes conceptions sur ces choses. 

J'ai donc principalement mis en lumière les événements de ma vie que j'ai vécus. Ce n'est qu'ensuite que ces écrits ont vu le jour. L'ensemble doit être quelque chose que j'ai présenté de manière similaire. J'ai noté mes pensées et mes idées. 

L'essence d'une écriture résulte de la finitude de la pensée. C'est ce que j'ai pris en compte dans mes réflexions à ce sujet. Ce texte sera un jour examiné par une personne familière de ces questions. Il s'agira alors de déterminer si mon œuvre a réussi à ses yeux. L'utilisation des choses que j'ai exposées ici et la manière dont elles ont été présentées ne devraient toutefois pas être remises en question prématurément par quelqu'un qui n'a pas été un connaisseur de ces choses. En ce qui concerne mon existence, cet écrit est certainement pertinent. Elle l'est, de par la manière dont je l'ai créée. Je suis simplement parti du principe que ce que j'ai écrit ici était bon. Je crois que moi aussi, j'ai trouvé quelque chose de vrai dans ma quête de sens pour la vie. 

Que l'on me reconnaisse ou non le fait que je savais de quoi je parlais ou écrivais a surtout pesé en faveur de ma cause, car dans ce pays, on met actuellement des bâtons dans les roues dès que l'on s'exprime de manière indépendante sur les ordres et les règles qui ont assuré la domination des élites. Je ne changerai pas de front et ne reconnaîtrai pas de fronts. La paix règne dans ce pays. Tout a été fait pour la préserver chez nous. C'est pourquoi je l'invoque. Moi aussi, j'ai espéré faire quelque chose de bien.

Impulsion

Fertilité

Les mots doivent d'abord être trouvés avant de pouvoir prendre un sens.  

Le savoir est imaginaire, la foi est un pouvoir. Seules les expériences partagées en sont. Sans témoignage d'un fait, il n'y a pas encore eu de preuve de ce fait. Sans participer à un environnement dans son entourage, on est entièrement livré à soi-même. Seul celui qui a trouvé une bonne place pour lui-même est capable d'exister.

Nous ne nous considérons pas du tout comme des guerriers. Au contraire, nous avons suffisamment à faire avec nous-mêmes. Semer une graine ne nous a pas suffi pour comprendre quelque chose de ce qui a fait bouger le monde. 

Nous l'avons certes réalisé, mais tout a été indépendant de cela. Quelque chose nous est parvenu, qui est maintenant donné. Nos œuvres n'ont guère trouvé d'écho auprès des personnes qui ont un poids dans notre environnement. Nous avons été exclus de tout. Mais certains amis ont écouté ce que nous avons partagé. Leur attachement a toujours été important pour nous. 

Seules quelques-unes des choses que nous avons créées ont reçu l'attention nécessaire de nos concitoyens. Nous avons laissé cela en l'état et n'avons rien changé. Ce qui nous appartient en propre, nous l'avons conservé. Rien de tout cela n'a brillé plus que le ciel chez nous.

Documentation

Vivre au ralenti

Le contraire du bien est le mal. 

Certaines personnes m'ont déjà reproché d'avoir fait des choses inutiles. Ils l'ont fait surtout quand je n'étais pas bien dans ma situation. Ils m'ont conseillé et m'ont dit que je devais changer quelque chose dans ma vie. 

J'ai entendu le comportement de ces personnes et je me suis énervé. Je ne leur ai en aucun cas donné le droit de me juger. Tout ce que j'ai vécu jusqu'à présent dans ma vie a été utile à un moment ou à un autre. Il m'a parfois fallu des années avant que mes propres succès ne se manifestent. Cependant, ma persévérance a été pour les personnes qui m'ont donné des conseils quelque chose qu'elles n'ont pas connu. Du moins, elles n'ont pas cru en moi. Cela m'a fait beaucoup de peine. 

J'ai passé mon existence sur le 'banc d'attente' sans raison. Pendant ce temps, une grande partie de ma vie s'est écoulée. Les conseillers ont été largement récompensés de leurs efforts. Leurs paroles ont pris de l'importance, même si elles étaient fausses. Personne ne s'est donné la peine de vérifier de telles choses. Rien de tout cela n'a été vérifié. Ces gens ont continué à tenir des réunions et à composer de nouvelles chansons sur des gens comme moi. 

Tout cela n'avait rien à voir avec ma situation de vie. C'est pourquoi je suis passé en mode défensif. Ma descente s'est donc accélérée. La vie et l'existence qui en découle m'ont semblé de plus en plus difficiles. Tout cela a culminé dans un fiasco. Mais à cause de quelques erreurs de traitement, rien ne s'est amélioré. 

Tout ce que j'ai accompli, je l'ai fait par mes propres moyens. Je peux le dire à juste titre, car c'est la vie que j'ai menée. 

Celui qui a refusé durablement le soutien des autres finit par ne plus en recevoir. Je le savais et je me suis arrêté. J'ai dû faire face à de nombreuses difficultés lorsque j'ai réalisé que sans le soutien de quelqu'un d'autre, je perdrais tout mon bonheur dans la vie. 

Mais celui qui est traité durablement comme la cinquième roue du carrosse peut s'en écarter sans que cela n'amène nécessairement quelqu'un à modifier son comportement. Stoïquement, les gens ont suivi leur chemin et m'ont rectifié. J'ai laissé faire pendant un certain temps. Mais à un moment donné, j'ai consacré le reste de ma journée à m'y opposer. 

Avec les biens auxquels j'ai eu accès, j'ai créé quelque chose qui s'apparente à une œuvre. J'ai essayé de montrer à mon entourage ce que j'étais capable de faire. Ainsi, malgré la longue période de vide dans ma vie, j'ai réussi à mettre quelque chose sur pied. Le fait que l'on n'ait pas vu ce que j'ai accompli parle un langage tout à fait particulier dans ma vie. Ce que j'ai fait n'a pas été pris en compte. 

Quand on a finalement essayé de m'éliminer, j'ai carrément fait la sourde oreille. J'ai dû tout miser sur cette carte parce qu'il n'y en avait pas d'autre. 

A ce moment-là, mon existence a déjà montré ses routines bien rodées. Je n'ai pas toujours compris à l'avance ce que j'étais capable de faire, mais j'ai accompli quelque chose. 

Grâce aux objets culturels que j'ai rassemblés et que j'ai évités de jeter à la poubelle, j'ai poursuivi mes études et les ai transformées en une étude de la vie qui, à mes yeux, a été extrêmement fructueuse. J'ai été impressionné par tout cela et j'en ai réalisé beaucoup. 

Je n'ai rien trouvé de mal à accepter ce qui est donné. Le fait d'avoir nommé ce qui m'a fait quelque chose m'a conduit à nouveau sur le bon chemin dans mon existence.  

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Une approche globale

Mes textes et mes chansons, mes poèmes et mes aphorismes ne reflètent pas uniquement mon expérience. Ils sont aussi basés sur tout ce qui m'est arrivé dans la vie. 

L'être humain incarne une forme énergétique, sa configuration avec son potentiel, mais aussi une constellation de choses qui lui est propre. Tout en lui constitue une somme pour l'ensemble et décrit sa pleine valeur à l'instant présent, telle qu'on la connaît. Mais un tel événement doit être géré correctement par nous. 

Nous avons reconnu et compris que la caractéristique principale de ce que nous sommes doit être normale et qu'elle constitue presque la totalité de notre être. Cependant, nous avons également reconnu que jusqu'à présent, tout s'est émané d'une manière duale dans le monde. Cela doit aussi rester valable pour nous. C'est pourquoi nous voulons dire que le potentiel d'un être humain se manifeste deux fois. Il en a été de même pour sa fortune. Il en est ainsi et il en a été ainsi de tout temps. On peut supposer que cette situation perdurera. En attendant, cette dualité peut être facilement transposée au donné. Pour ce faire, il suffit d'assimiler le microcosme d'une personne au macrocosme d'un monde. Cette particularité de l'existence a une certaine pertinence, surtout si on la rapporte aux dimensions de la nature. 

Tous les pouvoirs d'une personne ont une orientation simple. Elles sont toujours apparues localisables. Il s'est formé chez nous des arcs de tension qui caractérisent l'entrée et la sortie d'une force. La mise en place d'une force se fait par sa vision en tant que rattachement tangentiel à un matériau. Pendant ce temps, tout doit être ancré, comme la corde d'une guitare, entre deux points de grille. Les courbes de tension respectives provoquent chez nous un lien entre les forces et assurent la cohésion de notre organisme. 

Nous devons établir une équivalence avec le dual d'une personne. Cela doit permettre de reconnaître l'impact direct de l'existant sur nous. L'être humain a une nature lumineuse, mais aussi ombrageuse, et doit s'accommoder des deux, ce qui le caractérise. 

Ce que nous sommes doit être facilement reconnaissable. Ce qui constitue l'ensemble de cela a formé une unité chez nous. C'est là que cela a été vrai. 

Nous devrions supposer une unité constructive supérieure à cela, qui nous met en relation avec une expérience de certains phénomènes. Nous avons désigné cette unité comme étant le cadre qui nous est imposé. Celui-ci nous est imposé.

Il doit y avoir quelque chose à reconnaître et aussi à nommer selon ces véritables événements d'une vie que nous avons connus. L'ensemble a réuni les fils de la chaîne chez nous et a donné lieu à de nombreux nœuds, dotés d'une force d'expression sur notre existence.

La personnalité d'une personne a tout d'abord quelque chose d'un phénomène naturel vide, car elle veut se reproduire dans une situation supposée. Pour ce faire, nous nous basons sur ce qui est donné. 

Documentation

Le dual

Nous devrions connaître les événements métaphysiques qui ont été reconnus comme des phénomènes et dont nous avons tenu compte. Sans limiter une certaine fonctionnalité, nous avons également perçu un ensemble tel qu'il est apparu. Nous supposons qu'une chose est donnée telle qu'elle est apparue. Ainsi, ce que nous nous sommes appropriés doit également avoir un effet sur nous. Nous avons fait une supposition à ce sujet. Il y aura quelque chose à déduire du phénomène naturel en question. 

Pour ce faire, nous partons de l'état rationnel des choses. Nous supposons que le donné est brisé. Cette rupture, en tant que fractale, doit avoir traversé le donné à l'infini. Elle permet ainsi une analyse complète de ce qui a existé. Tout a alors fait l'expérience de son essence en tant qu'unité et a reçu une résolution au niveau de la propriété structurelle et corporelle de soi-même. 

Une telle construction, comme une poudre, ne pourrait pas être reconstituée ultérieurement. Nous avons donc imaginé un tas de débris de la plus grande finesse possible. Pour savoir comment il se comportera, nous devons déterminer sa dimension. 

Pour ce faire, j'ai fait les hypothèses suivantes.

Chaque particule de la plus grande finesse porte en elle une empreinte de la structure de sa surface et se comporte en conséquence comme un corps. 

Chaque particule d'ordre infinitésimal possède une force de masse qui lui a permis d'accéder d'elle-même à une configuration énergétique. 

J'ai alors enregistré une conclusion qui s'est dégagée après la lecture des deux idées précédentes, en les considérant comme une dérivation de celles-ci. 

Cet ordre des particules fines est dû à une constellation de propriétés énergétiques configurées et tient compte de leurs particularités physiques. 

Maintenant, muni de ces outils, on peut reprendre certaines caractéristiques d'un ordre et les nommer. Pour cela, on peut le typifier, c'est-à-dire décrire ses qualités, ou le quantifier, c'est-à-dire nommer ce qu'a été l'ordre et comment il s'est représenté graduellement. 

Mais il me manquait d'emblée les notions nécessaires à cet effet. C'est pourquoi je me contente ici d'indiquer la valeur de l'ordre qui a déterminé votre base et de la décrire.

Le degré zéro de l'ordre doit être le vide, la vacuité et l'absence de configurations énergétiques. Il représente la base pour nous, car aucune manifestation de la nature n'est tombée plus bas que cela. (Un vide et une apparence ont été clairement distingués l'un de l'autre en termes de contenu).  

Un phénomène remplace le vide et n'est en aucun cas quelque chose que le vide a contenu. (Une procédure d'exclusion valable lors de l'observation des phénomènes naturels doit pouvoir les caractériser et les expliquer un jour).

Le vide n'a pas été un champ, mais l'absence d'un champ. Un champ représente un 'objet' qui s'est clairement distingué du vide par une émanation structurelle et physique et qui n'en est pas un. 

Le vide est infini, la configuration énergétique est finie. Un vide est incarné par un silence calme et instaure l'ordre comme une force obsédante. La configuration énergétique s'oppose à cela et conditionne un chaos qui, malgré toutes les voix contraires, sait se plier à un ordre, car il a été un ordre de grandeur dépendant de celui-ci. 

La vacuité est une propriété qui se rapporte de manière transcendantale à quelque chose de donné. C'est l'incarnation par le récipient, son contenu. Les quatre phénomènes que je considère comme séparés de la nature du monde doivent avoir incarné le récipient. Je les énumère maintenant fidèlement, comme je les ai pris en compte dans mes études. [Espace, temps, matière, esprit] - Telles doivent être leurs incarnations essentielles. Sans elles, rien n'aurait été vrai. Ils sont entrelacés et ont donné naissance à un entrelacs, cette matrice (une transcendance). Ainsi, en tant que grandeurs absentes, elles ont été la cause d'une émanation du cosmos et sont capables de conditionner celui-ci. 

Après toutes ces réflexions sur le vide et les particules fines, comme je l'ai décrit précédemment, je voudrais enfin parler du dual de l'apparence humaine. Un dual se trouve grâce à une réflexion de l'émané sur la nature. Il possède une zone d'ombre et une zone de lumière et a été à la fois cause et effet de l'ensemble du tout. Il est ainsi apparu clairement limité. Puis il est apparu et a conservé ses caractéristiques au fil du temps. L'intégrité de l'ensemble de ce cosmos n'a en aucun cas été violée. 

Il faudrait réfléchir à la question de savoir si nous avons suffisamment tenu compte du dualisme pour déterminer les avantages de notre existence.

Pensée

Modes d'action

Chaque fois que tu as observé tes forces, tu dois aussi tenir compte de leur introduction dans le "miroir terrestre". Une force sans réflexion de celle-ci n'a jamais existé. C'est là que tout s'accroche à nous et nous restitue. 

Si quelque chose est allé sans une grande quantité de force, il serait bon de le laisser. Un excès de force a existé là où les choses étaient mal alignées les unes par rapport aux autres. Notre corps doit être le véhicule grâce auquel nous pouvons reconnaître comment les choses doivent être arrangées chez nous. 

Il nous permet de transmettre une force et de l'introduire dans un objet. Nous sommes ainsi fixés sur le fait que certaines choses nous sont inhérentes et qu'elles auront certainement un effet. Leur régulation nous incombe, mais ne serait pas toujours réalisable.

En attendant, nous avons constaté quelque chose. Sans un flux de choses résultant du donné, aucun mouvement ne s'est produit chez nous. Rien ne s'est donc émané chez nous. 

Nous avons également perçu une pensée supplémentaire. Celui qui a toujours annoncé ses choses avant de les faire n'a parfois pas eu beaucoup de succès. Il a alors souvent tort dans ce qu'il fait. L'être humain devrait toutefois avoir le droit de posséder une certaine souveraineté. Nous n'avons nullement besoin d'annoncer ce qui sera essentiel pour nous.

Mise en forme de la langue

Quelques mots sur la combinatoire

Dans un monde auquel appartiennent des modes de fonctionnement, ce qui est donné existe en toute clarté et est inscrit dans les faits comme une donnée. Nous avons alors réalisé que le fonctionnement était un fait de nature universelle. Cependant, le mode d'apparition de la réalité prévaut et inscrit sa nature dans les choses. Nous sommes ainsi conditionnés par le fait que des effets différents se sont manifestés temporairement et localement, ce que nous devons considérer comme l'ordre de ces choses. Il ne nous serait donc pas facile d'attribuer l'essence des choses à notre existence. 

C'est pourquoi nous avons cherché une approche pour déterminer ce qui est donné. Nous essayons de restituer son ordre par le langage. 

Pour cela, nous avons noté nos pensées telles qu'elles sont apparues d'elles-mêmes. Puis il s'est produit en nous quelque chose qui s'est apparenté à un processus. Nos écrits ont pris une place importante devant nous, mais ils n'étaient pas complets. Nous l'avons reconnu et avons au moins pondéré les mots. 

Nous avons utilisé quelque chose qui nous a semblé vrai. Un texte amélioré nous est apparu. Nous avons aussi appris à changer les mots. Nous avons également vérifié leur utilisation et les avons parfois remplacés par d'autres termes. 

Nous avons utilisé la conception linguistique comme un outil qui nous a permis d'effectuer une combinatoire. Cela s'est apparenté à un grand jeu de puzzle. Ce que nous avons fait avec les mots les a rafraîchis.

Avec le flair d'un criminologue, nous avons alors cherché la bonne caractéristique de la représentation de ce que nous avions dit.

Pensée

Chance

Un homme seul peut tout faire. (Citation de la pensée)

L'image que j'ai imaginée, je la porte en moi. Parfois, ce sont des personnes individuelles qui se sont reflétées sur moi, dans leur particularité (entité) qui m'est accessible. Je les ai perçues et je les ai laissées. L'ensemble m'est apparu complet. 

C'est maintenant chose faite. Il faut le nommer ici pour que l'on puisse supposer que j'en ai parlé. 

Documentation

Communication

La force d'une personne existe aussi grâce à l'utilisation de ses propres biens. Il continue à faire ce qu'il connaît bien et développe sa compréhension de la valeur de ces choses. 

Dans la vie, les choses se vérifient d'elles-mêmes. Ce que j'ai porté sur moi comme souvenirs s'est produit à un moment donné, et ce que j'ai appris devrait donc être considéré comme vrai. Mais personne ne savait à l'avance ce qui allait arriver. 

Ce que nous savons, c'est que nous avons appris qui nous étions et ce que cela signifiait. Cela doit nous permettre d'acquérir des connaissances propres à cette existence. 

Nous avons misé sur le fait que le présent apporte une continuité à notre existence. Elle a rendu vrai tout ce qui a perduré. Alors, quelque chose sera donné, s'il est apparu et a fait ses preuves. 

Ce qui est bien, c'est que nous nous sommes occupés de quelque chose. Nous avons cru qu'il y avait quelque chose de légitime à dire vrai. 

Nous avons nommé quelque chose qui est apparu chez nous et avons ainsi rendu vrai ce que nous en savions. Nous en avons tiré des conclusions. C'est ainsi que se sont formées nos connaissances. Nous les avons reconnues. 

Nous avons rassemblé nos forces chez nous. Nous ne nous sommes relevés qu'après avoir été chez nous et avoir réussi. 

L'existence en tant qu'être humain devrait aussi être celle de l'abandon à sa propre existence. Elle s'éteindra certainement un jour, mais en attendant, elle persiste. Les forces qui s'opposent les unes aux autres nous donnent un certain élan et peuvent être utilisées, mais aussi renforcées ou réduites par nous. 

Nous avons laissé tout le monde tel qu'il était et nous avons déjà fait quelque chose de fondamental.  

Documentation

Foudre, grêle et tonnerre

Il paraît que cela a fait une différence si nous avons été seuls ou si nous ne l'aurions pas été. Nous avons appris à nous faire confiance. 

La santé ne nous a pas fait de mal. Mais nous ne l'avons pas considérée comme une marchandise et ne l'avons donc prêtée à personne. Chacun doit être ce qu'il a été et se débrouiller.

Poème

Dans la nuit de l'âme

Le feu est sain, sa lumière est saine. 

Je suis assis à l'ombre, mais je ne peux pas m'en passer,

d'orienter mes pensées vers un bonheur pour la vie.

Tout m'est cher. C'est quelque chose qu'un espoir m'a promis. 

C'est ainsi que j'ai compris quelque chose de juste et que je veux le reconnaître,

comme cela s'est passé pour moi. C'est là que le vent tourne.

C'est ainsi qu'il est apparu, c'est vrai. 

Toutes les demandes des autres personnes m'ont semblé étranges, 

parce qu'ils n'ont rien laissé 

Vos pensées ne sont pas du tout claires pour moi. 

Ils ont parfois des visages sombres 

et causent des dommages plus étendus. 

J'ai eu raison de penser à quelque chose de bien. 

Certains en ont ri aux éclats. 

Certains ont même filé. 

Entre-temps, mes rêves se sont envolés, mes espoirs se sont envolés. 

Comme les soleils du monde, les hommes sont apparus devant moi, rayonnants

et m'ont éclairé d'une lumière éclatante.

J'aime beaucoup avoir une lune.

Qu'il se montre bientôt à moi. 

Il n'est pas loin dans le lointain

et a un beau reflet à lui. 

Que peut bien signifier pour moi une lumière comme celle du soleil ? 

alors qu'il est si dévastateur d'y perdre son regard. 

J'y ai renoncé aussitôt et j'ai ainsi trouvé mon vrai sens. 

Je m'abandonne à mon amour. 

Une telle chose ne veut pas paraître intelligente à quelqu'un d'autre. 

En attendant, je dois nier son discours. 

C'est mon bonheur et non le sien que j'ai recherché pour moi. 

C'est la raison pour laquelle certains m'ont presque maudit. 

Documentation

Acquérir une compétence

Chaque fois que nous exerçons une activité, nous nous décidons pour une compétence. Celui qui parvient à se fixer sur une compétence de base s'en sort bien. Il doit être possible de faire quelque chose de ce genre. Il y a une opportunité pour cela. Elle doit être en harmonie avec nous et nous devons l'aménager de telle sorte que nous puissions tantôt l'utiliser, tantôt la laisser. Ainsi, nous avons reconnu à juste titre que les compétences de base d'un être humain étaient des formations supplémentaires qu'il devait organiser. Elles se basent sur quelque chose de connu et sur les approches qui y sont liées, comme nous en sommes conscients. Nous devons contempler les véritables faits de la vie. Pour cela, nous devons les avoir vécus. Nous pouvons alors nous rattacher à des processus qui existent déjà chez nous. Grâce à un rattachement tangentiel à ce qui nous est propre, nous modifions éternellement quelque chose de donné en le respectant. 

On peut conserver un tel système ou y ajouter quelque chose qui s'y retrouvera. Ce qui s'est émancipé une fois est là et nous reste donc.  C'est pourquoi il est bon que notre représentation de ce jeu comporte une variante du jeu 'Tetris'. Toutes les parties qui se complètent mutuellement donneront un jour un jeu complet. Dans le cadre d'un tel achèvement, un nouvel espace se libère chez nous. Des œuvres personnelles peuvent voir le jour.

Documentation

Localisation d'une résonance

Ce qui s'est produit chez nous est apparu de la même manière que nous avons perçu quelque chose. Une telle chose a possédé sa propre valeur. Elle a donc aussi une certaine signification que nous pouvons définir avec des mots. Pour cela, nous examinons tout d'abord la structure des phénomènes associés à chaque chose. Nous avons été autosuffisants en ce sens que nous avons perçu quelque chose de ce qui est apparu chez nous. Cela signifiait tout pour nous, car ce qui nous était donné nous conditionnait. C'est ainsi que les choses qui se sont présentées d'elles-mêmes sont devenues vraies et se sont produites pour nous. 

Petit à petit, quelque chose s'est mis en place chez nous, qui a déjà conduit d'une certaine manière à une autonomie de notre part. Nous en avons fait l'expérience directement et cela a eu un effet perceptible sur nous. 

Pour en parler, il faut déjà avoir trouvé les mots pour le faire. Celui qui a déjà réfléchi à la manière dont quelque chose est apparu actuellement y parviendra certainement. Pour cela, il peut nommer ce qui s'est passé et désigner ce que cela représente pour lui. Ainsi, nous sommes entrés dans le domaine de l'intégrité de nous-mêmes et avons constaté en nous-mêmes un souci de ce qui s'est passé. 

Documentation

Se trouver

Les mots d'un auteur ont ceci de particulier qu'ils ont correspondu à cet auteur. C'est pourquoi ces mots ont quelque chose qui leur est propre et qui les a fait naître. 

C'est ainsi qu'il a fait de ses choses une réalité.

Il est parti du principe qu'en tant qu'être humain, il dispose d'une vision propre de son histoire. 

Pensée

La résonance

Un homme qui a les mains vides doit se renforcer par une réflexion sur son être s'il veut garder quelque chose de bon pour lui. 

Documentation

Se remettre sur pied

Si l'homme est seul, il se défendra aussi lui-même. En pensée, il se rencontrera lui-même. Pour cela, nous gardons les yeux fermés et percevons quelque chose de nous-mêmes.